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Il était une fois, deux passions… les cabas et le velours

Si l’on ouvre mes placards, l’on découvre tout un tas de vêtements non portés depuis très longtemps. Du manteau en fourrure de lapin acheté sur un coup de tête « parce qu’il était doux » en passant par la robe vintage de créateur en vogue dans les années 1970 dans laquelle je n’ai jamais pu y glisser un bras ou tout simplement la mini-jupe patineuse non assumée bien trop courte qui ne va avec rien de ladite armoire…

Seule une courte pile de vêtements basiques se distingue par son utilisation quotidienne rendant poussiéreuses les étagères remplies des coups de cœur.

A la lecture de ces quelques lignes certain.e.s se reconnaîtront certainement car, rassurez-moi, je ne suis pas la seule !

Bon, le problème ne s’arrête pas là, si l’on doit parler de problème bien entendu.

Il est bien entendu hors de question de se débarrasser de ces petits bijoux de créations textiles qui m’ont tant fait rêvée (et pour certains encore).

Oui, ne me jetez pas la pierre, et soyons honnêtes, que celui ou celle qui n’a pas acheté une fringue en se disant « aller ! on se motive, je perds 2 à 3 kilos et c’est bon je pourrai enfiler ce pantalon ! » nous fasse un défilé avec l’intégralité de sa garde-robe !

 

Je vous vois déjà sourire…oui, on ne me la fait pas à moi !

Cependant, cette problématique ne se cantonne pas à de simples vêtements, elle peut s’étendre à beaucoup d’autres domaines.

L’on appelle généralement cela « une collection ».

Une collection, c’est de l’achat passionné et parfois irraisonné qui fait du bien.

C’est une folie douce…On frôle l’oxymore.

Oui !  je suis accro aux sacs ! et aux cabas en particulier !

Alors je me rassure en me disant que je suis une grande collectionneuse de beaucoup de choses.

Une en particulier : les sacs.

Oui, je collectionne les sacs à main. Les sacs en bandoulière, les sacs portés à l’épaule, les sacs en cuir, en tissu, les cabas en lin ou en raphia, les sacs en laine ou bien tricotés main. Les paniers, les tote bags. Tout ce qui peut ressembler à un sac à main

C’est une obsession. Celle-ci a été poussée à son paroxysme en décidant de coudre mes propres sacs.

Au départ il y eu les choses hésitantes, avec une corde en guise de lien à nouer favorisant la fermeture du sac.

Vint celui en Toile de Jouy (oui la Toile de Jouy est présente dans mon univers depuis près de vingt ans ayant récupéré des chutes de tapisserie murale de la maison familiale).

Ce fut le premier que je réalisais avec une machine à coudre dont je découvrais l’utilisation. J’y avais inséré des anses en bambou et il était doublé en plus avec 2 poches intérieures… Il avait beaucoup de style et d’originalité.

Ah !  Les prémices de la couture me démangeaient alors, et je ne voulais pas m’arrêter là.

Puis la célèbre marque française, Vanessa Bruno, lança son cabas. En toile d’abord puis en lin et en cuir et presque à chaque fois avec des paillettes.

Superbe, Iconique !

J’en voulu un (trois en fait !), non pas pour faire comme tout le monde – quoique- mais surtout parce qu’ils sont superbes, d’une forme évidente et surtout in-dé-mo-da-bles.

Oui, cette forme est parfaite

Pourtant… Ils ne sont pas si pratiques. Je ne parle pas des paillettes qui s’enlèvent, mais plutôt de leur utilisation. Je trouve que les anses sont trop courtes et il n’est pas toujours aisé de les faire tenir à l’épaule surtout en hiver avec les épaisseurs des manteaux que nous portons.

Également, leur résistance est mise à l’épreuve car non doublés ils finissent par s’abimer plus rapidement.

Quel dommage !

Et puis un cabas on y glisse également de petites bricoles que l’on cherche en permanence au fond de son sac, quoi de plus pratique que plusieurs poches intérieures ? Là, une seule de la taille d’un téléphone ne permet pas forcément d’y glisser autre chose.

N’étant jamais mieux servie que par moi-même, j’ai cousu mon propre cabas

Suite à ce constat, je décidais donc de coudre mon propre cabas.

Puis un deuxième, ainsi que pour les copines qui en voulaient un… Jusqu’au jour où un « Mais pourquoi tu ne les vends pas ? sincèrement, ils sont parfaits, résistants, pratiques avec leurs deux poches, les anses sont à la bonne taille et leur taille est immense ! et quel style, ils sont trop beaux ! » est arrivé sur le tapis.

Alors voilà comment a commencé la fabrication du cabas parfait, ce grand sac fourre-tout.

Car oui, il a une particularité, il est immense. Un sac cabas aux dimensions généreuses doublé avec une poche zippée et deux poches plaquées.

Difficile de trouver plus grand sac en velours sur le marché.

Alors j’ai commencé à chercher les tissus qui feraient la différence.

Pour la doublure intérieure, un seul mot d’ordre : trouver un tissu résistant et souple à la fois qui soit le plus éco-responsable possible provenant de dead-stocks (stocks dormants) ou fin de séries, de productions bio ou encore labellisés oeko-tex. Le must ? Récupérer des tissus ayant déjà servis à d’autres usages, ayant eu une histoire et qui soient en excellents états.

Pas facile, mais pas impossible

On fonce sur les brocantes et autres ventes d’occasion en ligne (Le Bon Coin est une mine d’or, Vinted n’est pas mal non plus !), mais également on fait appel à toutes nos grands-mères préférées en passant par les voisines, les mamans et les grands-tantes : on fait contribuer tout le monde.

Car oui, tout le monde a dans ses placards des stocks de tissus inutilisés et prêts à partir à la poubelle.

Quant au tissu principal, on suit la même démarche en misant sur un tissu beaucoup plus résistant et qui ait une certaine tenue. Qu’il ait l’élégance de son intemporalité. L’on imagine un tissu noble qui renvoie à un style intemporel et singulier, mettant en valeur chacune qui le portera.

Le lin est donc le compagnon idéal de l’été, tout autant que la toile, c’est indéniable.

L’hiver, ce sera le velours. Cette matière noble est chatoyante et apporte la touche luxe qui met en valeur chacune de nos tenues. Sa résistance, son épaisseur lui confère un statut de sac cabas déjà iconique.

Il est une évidence.

L’une de ces matières où l’on a envie de se lover, qui réconforte. Un doudou des temps modernes pour chacune d’entre nous.

Qu’il soit rosefuchsiableu ou moutarde, on a forcément envie de l’exhiber. Des couleurs vives et douces à la fois pour réveiller l’hiver et rehausser notre teint. Véhiculer notre bonne humeur.

On y transporte de tout. L’avantage de sa forme c’est qu’il s’adapte à toutes les situations, qu’il soit casual pour une mode de tous les jours, transformé en sac de sport, ou enclin à transporter notre nécessaire vital et même se transformer en sac de courses, il saura certainement toujours vous mettre en valeur se substituant à votre sac à main habituel.

Car oui, le sac cabas en velours de Maison Mallow est le sac parfait.

A bien y regarder, on ne lui trouverait qu’un seul défaut, celui de choisir une seule couleur !

De mon côté, je n’ai pas réussi à trancher, alors je l’exhibe dans tous les tons !

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